Comment les
peuples du Moyen-Orient ont été convertis
à l'Islam
Aujourd'hui les pays du
Moyen Orient voient disparaître la population
chrétienne qui constituait la majorité dans
toute cette région. Les coptes d'Egypte sont les
descendants des pharaons, d'ailleurs c'est grâce
à la langue copte que Champollion a pu
déchiffrer l'écriture hiéroglyphe .
Siècle après siècle, terreur
après terreur, leur nombre diminue d'une
manière inexorable. Il faut que les orientaux en
générale et les musulmans en particulier aient
le courage de regarder la vérité en face et de
ne pas rejeter toujours la faute sur les autres. Les
Américains, les Européens et même les
Chinois agissent dans l'intérêt de leurs
citoyens. Il suffit de regarder l'actualité pour voir
à quel point les régimes en Iran, en Irak, en
Arabie Saoudite, en Egypte, en Afrique du Nord et dans tous
les pays du Moyen-Orient , ont la haine de l'homme en
générale, aucune notion d'humanisme et
d'humanité. Les criminels c'est toujours les autres,
même quand le sang de leurs victimes
dégoulinent de leurs mains.
La haine
|
- La
haine qui ne s'éteindra
jamais
Ce n'est pas par
amour de la guerre, ce n'est pas par orgueil que
les musulmans regardent le Djihad (guerre
sainte) comme une obligation sacrée. Ils
voient dans le Coran le livre par excellence, et
dans la religion de l'Islam le salut du monde.
En faisant la guerre aux infidèles, c'est
pour Dieu qu'ils combattent, c'est son
règne et non le leur qu'ils veulent
établir sur toute la surface de la terre.
Le Djihad, c'est le prosélytisme
armé.
- « A
Combattez dans la voie de Dieu, s'écrie
le prophète ; combattez les
infidèles jusqu'à ce que tout
culte soit celui du Dieu unique.» (Sourate
8 AL-ANFAL (LE BUTIN) verset:
39)
- « Faites la
guerre aux infidèles jusqu'à ce
qu'ils paient le tribut ; ne les appelez point
à la paix tant que vous leur serez
supérieurs. Combattez pour Dieu comme il
a droit qu'on combatte pour lui.
»
- « A
ceux qui prendront part au Djihad, le
prophète annonce des récompenses
magnifiques.» Dieu, leur dit-il, vous
introduira dans les jardins arrosés par
des fleuves, vous habiterez éternellement
de somptueuses demeures; un bonheur immense vous
est réservé. Il leur promet
l'assistance divine dans les batailles, le
concours de dix mille anges se succédant
sans intervalle pour les soutenir contre leurs
ennemis. Si, au contraire, ils refusent de
marcher au combat, Dieu les frappera d'un
châtiment terrible. L'abstention en temps
de guerre sainte est un
crime.
- Ces textes,
dictés souvent au prophète par la
nécessité du moment, ont produit
la politique musulmane, politique
d'intolérance qu'on ne retrouve pas
ailleurs au même degré. Leur
jurisprudence même est basée sur la
nécessité du Djihad. Il n'y a pour
tout musulman que deux dogmes, la guerre et la
paix : l'homme libre est fait pour porter les
armes à la guerre, et se reposer durant
la paix dans toutes les voluptés
sensuelles, au milieu des jardins en fleurs, au
bruit des fontaines jaillissantes, au doux
murmure des eaux parfumées. Le
mépris pour tous les peuples qui ne sont
pas musulmans est un principe religieux. Mahomet
ordonne à ses disciples de tuer tout
homme qui n'a pas un livre de la loi
(c'est-à-dire les idolâtres), et
d'abaisser sous leurs pieds tous ceux qui ayant
un livre de la loi ne veulent pas se faire
musulmans.
- Depuis la mort
de Mahomet jusqu'à nos jours, ce
fanatisme, loin de tomber devant la
civilisation, n'a fait que s'enraciner plus
profondément dans les curs, et la
haine du nom chrétien passant de
père en fils s'est comme infiltrée
dans le sang. Le premier calife qui
succéda à Mahomet,
réunissant les musulmans pour la
première guerre sainte, leur dit ces mots
: « Marchez, le ciel est devant vous,
l'enfer derrière, l'ennemi devant;
mourez, s'il le faut, mais ne reculez et ne vous
rendez jamais; ne tuez ni les vieillards, ni les
enfants, ni les femmes, épargnez les
monastères et les anachorètes;
quant aux membres de la synagogue de Satan, qui
portent la tonsure sur la tête,
fendez-leur le crâne. Point de quartier
pour eux, à moins qu'ils ne se fassent
musulmans, ou qu'ils ne consentent à
payer le tribut. »
- Quelques mots
maintenant sur la situation des chrétiens
en face des musulmans. Quand Mahomet se mit
à prêcher sa doctrine, il tenait
d'une main le Coran, de l'autre le sabre ; il
fallait prendre sa loi ou mourir. Mais les
Turcs, qui au commencement du XIIIe
siècle vinrent des bords occidentaux de
la mer Caspienne, ne procédèrent
pas de la sorte pour établir leur
domination parmi les peuples chrétiens.
Ils ne les exterminèrent pas, mais ils
s'appliquèrent à les abaisser,
à les dégrader. Le gouvernement
des Califes avait épouvanté par
ses invasions l'Europe du moyen âge; les
Turcs, moins forts et aussi fanatiques, se
mêlèrent aux anciens musulmans, et
visèrent surtout avec une incroyable
persévérance au meurtre moral des
chrétiens. Désormais toute
participation dans le gouvernement, dans
l'armée, dans les tribunaux, leur est
refusée. Ils sont déclarés
incapables de posséder des
propriétés foncières, et
pour leur bien montrer qu'ils ne sont que de
misérables esclaves, on fait une loi par
laquelle les enfants du Christ ne peuvent
espérer de vivre qu'en rachetant
annuellement leur tête : c'est
l'impôt de la capitation, (ou le Karoche)
.
- Les
chrétiens ne sont pas pour l'Osmanli des
hommes, mais des bêtes, des chiens, le
rebut du genre humain, qu'on ne peut souffrir
qu'à la condition qu'ils ne seront rien,
rien qu'une machine qui travaille, qui produit
pour les autres. Et il faut que cet avilissement
se montre partout et en tout. Il sera
défendu aux giaours de porter des habits
ayant telle ou telle couleur : seule la couleur
noire leur sera permise, comme étant la
livrée de l'humiliation et de
l'esclavage. Ils ne pourront bâtir des
églises qu'avec la permission des
musulmans. Le sultan nommera lui-même
à Constantinople leur patriarche. Il est
une autre remarque à faire sur les
relations entre chrétiens et Turcs. Ces
derniers se croient parfaitement
dégagés de toute obligation envers
les chrétiens : tout traité conclu
avec eux, toute parole donnée, tout
engagement, de quelque nature qu'il soit, ne les
oblige en aucune manière. Leur loi
défend toute alliance avec les
infidèles.
- L'Iman Mohamed,
un docteur musulman et disciple d'Abou-Hanifa,
précise « Si les infidèles
demandent que les deux parties contractantes
concluent une paix perpétuelle, nous ne
pouvons consentir à une pareille clause.
La guerre sainte est pour nous un devoir
religieux comme le sont la prière et le
jeûne. Consentir à la paix ne
pourrait trouver d'excuse que dans la
nécessité; mais alors ce serait
pour la rompre et recommencer les
hostilités dès que nous aurions
recouvré nos forces. »
Ce texte du XIXe
siècle est toujours
d'actualité.
|
Copyright
© 0002.net
Tous droits réservés
|